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Le Blog d'Alain Gestin (Atelier Le Belvédère)
24 février 2009

LA BOETIE ( Discours de la servitude volontaire)

" Certainement le tyran n'aime jamais, et n'est jamais aimé. L'amitié est un nom sacré, une chose sainte. Elle n'existe qu'entre gens de biens. Elle naît d'une mutuelle estime et s'entretient moins par les bienfaits que par l'honnêté. Ce qui rend un ami sûr de l'autre, c'est la connaissance de son intégrité. Il en a pour garants son bon naturel, sa fidélité, sa constance. Il ne peut y avoir d'amitié là où se trouvent la cruauté, la déloyauté, l'injustice. Entre méchants, lorsqu'ils s'assemblent, c'est un complot et non une société. Ils ne s'aiment pas mais se craignent. Ils ne sont pas amis mais complices."

La Boétie (1530-1563)

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17 février 2009

Camille Laurens

La phrase la plus éloignée de l’amour, ce ne serait pas « je te hais »,
mais « je ne veux pas le savoir ».

Camille Laurens, L’amour, roman, 2003.

5 février 2009

Thomas JEFFERSON (1743-1826)

Ce beau texte en passage transmis par Éric-Charles Dégoute

auteur de l'éssai: "Quand l'histoirer balbutie" éditions Amalthée

1802................................................................................2008

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés
que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple Américain permet qu’un jour des banques privées contrôlent sa monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour de ces banques priveront les gens de toutes possessions, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour ou leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs ancêtres ont conquis. »

                       Thomas JEFFERSON 1802    

Le 3eme Président des États Unis d'Amérique de 1801 à 1809

3 février 2009

Dawn Kinnard & Ed Harcourt

3 février 2009

Détail Carré 25 A

P1030101

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2 février 2009

LA BOETIE ( Discours de la servitude volontaire)

"Or ce tyran seul, il n'est pas besoin de le combattre, ni de l'abattre. Il est défait de lui-même, pourvu que le pays ne consente point à sa servitude. Il ne s'agit pas de lui ôter quelque chose, mais de ne rien lui donner. Pas besoin que le pays se mette en peine de faire rien pour soi, pourvu qu'il ne fasse rien contre soi. Ce sont donc les peuples eux-mêmes qui se laissent ou plûtot qui se font malmener, puisqu'ils en seraient quittes en cessant de servir. C'est le peuple qui s'asservit et qui se coupe la gorge; qui, pouvant choisir d'être soumis ou d'être libre, repousse la liberté et prends le joug; qui consent à son mal, ou plutôt qui le recherche..."

LA BOETIE

1 février 2009

Carré 25 A (Détails)

P1030099P1030090

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